vendredi 31 mai 2013

Ahmed Brahim : Bravo!

Ahmed Brahim, decide et a deja mis en oeuvre toutes les procedures necessaires pour renoncer a son salaire et tous ses avantages liees a sa fonction de depute
L'ANC etant devenu non seulement une mascarade, mais un outil pour installer ceux qui sont en place au pouvoir le plus longtemps possible, Ahmed Brahim ne peut continuer a y souscrire
Bravo Monsieur

Main dans la main?

A ceux qui disent qu'il faudrait que tout le monde se retrousse les manches et aide ce gouvernement a se sortir de la crise, je répondra que cela ne sera possible que si:

- le gouvernement en place se décidait en fin a donner une feuille de route claire pour les prochaines élections
- qu'il y a un vrai consensus sur la constitution et que les libertés y soient consacrées de manière très claires, que les pouvoirs soient vraiment indépendant et que l'Etat soit un état civil sans détours
- que le problème de la violence et notamment celui des LPR soit clairement et définitivement résolu
Si ces conditions sont réunies, qui ne voudraient pas aider son pays et travailler? Personne
Mais quand ceux qui sont au pouvoir ne travaillent QUE pour rester au pouvoir, alors dans ce cas, ils ne trouveront jamais l'aide des compétences dont regorge notre pays


Les finances, c'est pas de l'industrie

Le ministre des Finances annonce que le pays devra encore encore emprunter 3.3 milliars de $ en 2014
Par qui et comment vont etre rembourses tous ces prets?
Le pays est en crise. Je n'ai rien contre le ministre en question, mais le pays a besoin aujourdhui d'un grand specialiste dans le domaines de la finance et qui possede d'importants reseaux mondiaux pour tenir ce poste
On ne peut continuer a se jouer ainsi du pays au nom du partage des pouvoirs entre les partis de la troika!

mercredi 29 mai 2013

Moody's degraderait encore

Moody's citant l'incertitude politique et le risque d'instabilité ainsi que des finances faibles dans les banques appartenant à l'État et des pressions externes importantes sur sa balance des paiements, continue d'observer la Tunisie de maniere negative. Le BB- avec perspective negative risque de ce fait de se degrader encore d'avantage annonce Reuters le 29 mai 2013

Tunisie, nous t'aimons

Ce gouvernement de la honte qui échoue partout et qui par dessus tout manipule la justice au point de gracier des terroristes qui se sont attaque a une ambassade, ont brule ses voitures, l'ont dévalisé, ont remplacé son drapeau par leur horrible torchon, qui se sont attaque a une école, qu'ils ont pillé et brulé, me gêné beaucoup.
Ce gouvernement qui pousse l'économie vers la faillite en complicité avec des pseudo-démocrates, me met mal a l'aise
Ce gouvernement me gêne, me met mal a l'aise et m'enlève petit a petit ma fierté d'être tunisien
Mais Tunisien, je suis, tunisien je reste et tunisien je serai toujours.
Mon drapeau rouge sang avec sa belle étoile et son beau croissant m'honorent.
J'ai toujours eu la tête haute grâce a ce drapeau
Oui aujourd’hui est un mauvais moment, très mauvais moment, mais par la volonté des femmes et des hommes libres de ce pays, nous allons reconquérir notre pays
Le rouleau compresseur de la dictature est a nos portes, on en sent les prémisses, mais nous tiendrons, nous tiendrons et ne nous laisserons pas faire
Cette Tunisie, on l'aime et nos enfants l'aimeront encore plus fort

Larme....

Un gouvernement au service du terrorisme?

Proces des terroristes qui se sont attaque a l'ambassade US en Tunisie :
L’audience qui n’a duré qu’un peu plus de quatre heures s’est limitée aux déclarations de l’accusation, des avocats et aux dénégations des accusés, aucune partie n’ayant demandé à ce que les témoins ou les preuves examinés durant l’instruction soient présentés lors du procès.
Bien evidemment l'ambassade des USA reagit officiellement et s'inquiete de la legerete des jugements avec sursis.
Un gouvernement au service du terrorisme? Je n'ose meme pas y penser

La Dictature en marche

Publication de Salma Mabrouk - Deputee Al Massar



a pétition signée par 120 députés (chiffre donné par El Jarida) à l’encontre du député Mongi Rahoui , à qui on reproche à priori d’avoir porté atteinte à l’institution qu’est l’assemblée nationale et à ses représentants, est en elle même une terrible preuve de l’absence d’un esprit démocrate chez le groupe parlementaire d’Ennahdha (car l’idée vient d’une de ses députée) mais aussi chez la grande majorité des députés vu le nombre des signataires.

Quand on fait l’analyse de ce qu‘a dit Mongi Rahoui en séance plénière (car il s’agit à priori de cela), nous retrouvons des expressions du type « le peuple vomit l’assemblée », ou encore « vous êtes des gens cupides » (s’adressant à ses collègues), et ce lors de la polémique autour du projet de loi visant à donner l’autonomie financière à l’assemblée et devant servir à augmenter la prime des parlementaires et à effectuer un rappel conséquent de plusieurs mois.

Est ce les expressions employées par Mongi qui ont ulcéré ses collègues, ou est ce plutôt le sujet brulant qu’il a soulevé ?

Mais que dire alors des « ya tajamo3 » proférés au petit bonheur la chance ? Ou encore des « ayadi el khafia », responsables de tous les malheurs du pays, propos jetés maintes fois à la face de l’opposition ? Ou encore de l’accusation d’être « effrayés » par le Coran, accusation proférée par un député Ennahdha, le livre saint brandi à bout de bras vers les députés de la kotla dimocratia… ?

Les débats au sein de l’assemblée sont souvent houleux, en plénière ou en commission, et les dérives verbales sont légions. La colère ressentie quand on est l’objet de propos acerbes est légitime. Et jusqu’à aujourd’hui, cela était admis par tout le monde comme étant le prix à payer pour accéder à un véritable échange démocratique.

Mais ceux qui vont jusqu’à passer par une pétition pour censurer un collègue, n’appartiennent définitivement pas au monde des démocrates…

Quelles peuvent être les conséquences de ce genre de pétition ? Le règlement intérieur (article 100 modifié) permet de pénaliser les débordements du type " troubles au déroulement des séances ou propos insultants envers l’assemblée ou son président " d’un député par sa privation de parole pendant 3 séances plénières pendant lesquelles il est « considéré absent », la décision étant prise par le bureau de l’assemblée à la majorité des voix. Cet article est déjà une caricature en lui même, il ne lui manque que l’évacuation manu militari du député "coupable" (amendement proposé par Ennahdha et refusé de justesse lors du vote)…

La liberté d’expression est menacée à tous les niveaux.
Personne n’en réchappe, ni journaliste (rédacteur d’Ettounsia, Zied El heni, Olfa Riahi), ni artiste (sculptrice d’El Abdelya , rappeur Weld El 15), ni intélligencia ( Raja Ben Slama), ni conseiller du président ( Ayoub Massoudi)…ni même député (sensé être la voix libre des citoyens) …Les accusations fusent à la vitesse de l’éclair, se basant sur des principes à la carte du type atteinte « à l’ordre public », « aux bonnes mœurs », « à la sacralité de l’armée », « à la sécurité nationale », ou encore « diffamation » ou « assertions mensongères »…Et les tribunaux s'appliquent à les convertir en punitions dissuasives dans un trop grand nombre de cas...

Et contrairement à l’adage populaire, chez nous, « après la pluie, vient le vent » car le gouvernement propose maintenant un projet de loi sur la protection des forces de l’ordre qui contient des articles capables d’envoyer une bonne moitié des citoyens devant les tribunaux pour « affront à représentant de l'ordre public»…

lundi 27 mai 2013

Les faits relatifs aux dernieres discussions sur la constitution

Ennahdha n'a pas accepte facilement ce qui a ete obtenu a Carthage. 
Recapitulons ce qui s'est passe pour que nous soyons tous au meme niveau d'information:
Quand les partis sont rentre dans le debat national, il y avait un certain points de discorde et notamment:
- la nature du regime (Ennahdha voulait un regime parlementaire)
- Le droit syndical qui etait conditionne
- Les libertes qui etaient conditionnees
- La liberte de conscience (7orriyet edhamir) qui n'etait pas acceptee
et bien d'autres points
Sur tous ces sujets, les participants au debat national ont obtenu que :
- Le regime soit mixte
- Aucune condition pour le droit de greve ni les libertes 
- Chacun est libre de faire ses choix religieux (la liberte de conscience)
Des points de litige sont restes, a savoir:
- la violence
- la composition de la haute instance pour la magistrature
- L'article 136
ces points ont ete ensuite debattus, sans succes a la reunion sous l'egide de l'UGTT  et les participants ont enterine ce qui a ete decide a Dar Edhiafa.
La semaine derniere, Habib Khedher a indique que les accords de Carthage n'obligeaient pas son parti
Iyed Dahmani a fait une conference de Presse pour denoncer ce revirement de la part de Ennahdha
Aujourdhui et apres de longs debats, Ennahdha a fini par accepter ce qui a ete decide lors du debat national de Carthage
Nous obtenons de ce fait, une constitution qui s'ameliore mais qui demeure imparfaite, puisque et notamment, l'article 136 n'a pas trouve d'epilogue heureux et la composition de la haute instance de la magistrature est encore sujet a debats.
C'est a la societe civile avec les partis d'opposition de continuer ce combat

BLOG DE KARIM BARKETALLAH: Mea Culpa

 Dans la vie, si on ne s’arrête pas un moment pour regarder un peu dans le rétroviseur, si on n’évalue pas ses actions, qu’on ne fait pas son auto critique pour capitaliser de ses erreurs, on n’avance pas
C’est ce qu'il m’arrive de temps a autres de faire et la, j’aimerai faire mon mea culpa
1- Ettakatol : J’ai adhéré à ce parti quelques semaines après la révolution comme j’aurai pu adhérer au PDP car pour moi il fallait intégrer l’un des grands partis du moment pour éviter que nos voix se perdent. Toutes mes actions que j’ai faites au sein de ce parti, je les ai faites de bonne foi faisant confiance en ceux qui le dirigeaient. J’ai entrainé derrière moi des centaines de personnes et me suis attaqué a tous ceux qui n’étaient pas dans mon camp. La signature de l’Organisation Provisoire des Pouvoirs dans sa première version et qui a vu Ettakatol tout céder a Ennahdha a été le déclic pour moi pour quitter le parti auquel je me suis donné sans compter. J’ai fait une erreur. J’en tire les conséquences et fais ici mon mea culpa
2- Azlam ennidham : Apres la révolution, je me suis pris de manière, parfois violente, aux symboles du régime déchu. Erreur. Car je me devais de discerner et de ne pas m’attaquer en bloc à tout le monde. On ne peut reconstruire un pays en faisant table rase de son passé. Il faut construire le présent en alchimie avec le passé. J’en tire les conséquences et fais ici mon mea culpa
3- Vivre ensemble : Pendant très longtemps j’ai cru que les islamistes et les progressistes pouvaient coexister. Erreur. Eux ont une vision de la société. Nous en avons une autre. Jamais ils n’accepteront que la Tunisie soit un pays démocratique, civil, ou la liberté de croyance, de conscience et la liberté de parole soient érigées en règles de vie. Leur modèle est l’émirat, le notre est le progrès. Dommage d’en arriver a ce constat car cette Tunisie peut être riche de sa diversité et de ses contradictions. Mais pour eux, la Tunisie ne peut qu’être une terre d’islam en prélude au 6e califat. Encore un autre mea culpa
Cette Tunisie aujourd’hui a mal et très mal
Le mal est tellement profond que je le verrai mal se dissiper avant plusieurs et plusieurs années
Il est important aujourd’hui que l’on soit véritablement soudés et solidaires car notre combat est encore bien d’avantage plus dur que le combat qui a été mené contre Ben Ali et son entourage.

Les Tunisiens sont en train de tenter de préserver leurs acquis et de sauver un modèle de société face a des gens qui ne croient ni en la démocratie ni en les libertés

dimanche 26 mai 2013

Mea Culpa

MEA CULPA :
Dans la vie, si on ne s’arrête pas un moment pour regarder un peu dans le rétroviseur, si on n’évalue pas ses actions, qu’on ne fait pas son auto critique pour capitaliser de ses erreurs, on n’avance pas
C’est ce qu'il m’arrive de temps a autres de faire et la, j’aimerai faire mon mea culpa
1-    Ettakatol : J’ai adhéré à ce parti quelques semaines après la révolution comme j’aurai pu adhérer au PDP car pour moi il fallait intégrer l’un des grands partis du moment pour éviter que nos voix se perdent. Toutes mes actions que j’ai faites au sein de ce parti, je les ai faites de bonne foi faisant confiance en ceux qui le dirigeaient. J’ai entrainé derrière moi des centaines de personnes et me suis attaqué a tous ceux qui n’étaient pas dans mon camp. La signature de l’Organisation Provisoire des Pouvoirs dans sa première version et qui a vu Ettakatol tout céder a Ennahdha a été le déclic pour moi pour quitter le parti auquel je me suis donné sans compter. J’ai fait une erreur. J’en tire les conséquences et fais ici mon mea culpa
2-    Azlam ennidham : Apres la révolution, je me suis pris de manière, parfois violente, aux symboles du régime déchu. Erreur. Car je me devais de discerner et de ne pas m’attaquer en bloc à tout le monde. On ne peut reconstruire un pays en faisant table rase de son passé. Il faut construire le présent en alchimie avec le passé. J’en tire les conséquences et fais ici mon mea culpa
3-    Vivre ensemble : Pendant très longtemps j’ai cru que les islamistes et les progressistes pouvaient coexister. Erreur. Eux ont une vision de la société. Nous en avons une autre. Jamais ils n’accepteront que la Tunisie soit un pays démocratique, civil, ou la liberté de croyance, de conscience et la liberté de parole soient érigées en règles de vie. Leur modèle est l’émirat, le notre est le progrès. Dommage d’en arriver a ce constat car cette Tunisie peut être riche de sa diversité et de ses contradictions. Mais pour eux, la Tunisie ne peut qu’être une terre d’islam en prélude au 6e califat. Encore un autre mea culpa
Cette Tunisie aujourd’hui a mal et très mal
Le mal est tellement profond que je le verrai mal se dissiper avant plusieurs et plusieurs années
Il est important aujourd’hui que l’on soit véritablement soudés et solidaires car notre combat est encore bien d’avantage plus dur que le combat qui a été mené contre Ben Ali et son entourage.

Les Tunisiens sont en train de tenter de préserver leurs acquis et de sauver un modèle de société face a des gens  qui ne croient ni en la démocratie ni en les libertés

Pauvre Clinton

Aujourdhui fete des meres. Quoi de plus precieux qu'une maman. La mienne qui est parti a un age tres precoce, a laisse une enorme place que rien ne comblera. Il en est de meme pour tous ceux dont la maman est parti. Les mamans ont cette capacite de toujours nous benir quelque soient nos fautes. Elles ont cette force de nous aimer et cherir d'une facon extraordianaire
La mienne, faisait partie de ceux la, mais elle aimait aussi les animaux et tout ce qui marchait sur terre.
Je vous rapporte ici une chronique qu'elle avait ecrit sur CLINTON. Non, il ne s'agit pas de ce joueur de Saxo auquel Monica Lewinski a donne du plaisir en se faisant plaisir avant de penser qu'il y a avait un autre coup a jouer, mais de CLINTON son chat qui a ete renverse par une voiture. Lisez plutot, cela n'est pas trop long.
Elle a toujours ete grande et plus le temps passe, et d'avantage je m'en rend compte
Bonne fete maman. Allez lisez et merci Fatima Maaouia

" Léa-Véra Tahar
chronique

JE M’APPELLE CLINTON

Je m’appelle Clinton. Mais je vous rassure, je ne suis pas l’ancien Président des Etats-Unis.
Qui suis-je? J’aime me pelotonner au coin du feu et ronronner. Vous avez deviné, je suis un chat. Un chat à la chance inouïe qu’envieraient à mort tous les adeptes de l’émigration toutes destinations confondues.
Jugez plutôt!
J’appartiens à la plèbe des chats de gouttière mais pas tout à fait bâtard.
Je suis d’ascendance noble malgré tout. Mon pelage brillant gris mordoré et mes poils longs et soyeux doux à la caresse sont l’héritage génétique de ma défunte mère Enza. Elle possédait un pedigree au sang pur; une chatte persane blanche aryenne à mille pour cent.Elle naquit à Paris et y a vécu toute son enfance et adolescence. Sa maîtresse , aujourd’hui ma maîtresse,l’a ramenée en Tunisie dés la fin de son séjour d’études.
Dans le quartier où ma génitrice a débarqué, cela a été le branle-bas général. Tous les chats se sont entichés à la folie d’elle délaissant leurs dulcinées qui râlaient de jalousie. Mais elle ne leur adressait pas le moindre regard et les méprisait totalement.Et pour cause! Elle s’éprit d’un chat moche et borgne.
Le dicton «L’amour est aveugle» répond parfaitement à l’engouement passionnel de ma mère pour mon père.
Pourrais t-on lui en vouloir? C’est si bon d’aimer et d’être aimée.
Enza mis au monde plusieurs portées. Je crois que j’appartiens à la dernière.
Entre temps, ma maîtresse a rencontré son prince charmant qui lui n’est ni borgne ni moche. L’élu de son cœur possède la prestance altière d’un roi.
C’est juste après leur voyage de noces que j’eus l’extrême plaisir de faire leur connaissance. J’étais un adorable chat. J’aimais jouer avec Valetta la chienne de la maison qui me couvait comme une mère. La mienne quant à elle vagabondait je ne sais où et avait oublié jusqu’à mon existence.
Ma maîtresse lorsqu’elle aperçut mon joli minois, me saisit dans ses bras dans lesquels je me lovais en ronronnant de bonheur et d’extase. Je ne pouvais ni imaginer ni penser ce que cette rencontre aurait d’impact positif sur ma vie de chat commun. Je m’appelais banalement Minou et voilà que l’on me baptisa Clinton. Je grimpais en deux temps trois mouvements dans la hiérarchie sociale. J’ai eu droit à un carnet de santé et un passeport. En compagnie de ma maîtresse et de son époux, ensuite avec leurs deux garçons, j’ai parcouru le monde d’un bout à l’autre; j’ai vécu une année à Washington, traversé les Océans Atlantique et Pacifique ainsi que la mer méditerranée.
Je ne suis nourri que de mets en conserve importées. Ce n’est pas moi qui irait lapper dans une écuelle rempli de déchets. Non moi je suis un fin palais et un gastronome. Aujourd’hui, je vis au Sénégal où je mène une vie de pacha
Je sais ce que les envieux diraient de moi: «Soûd mouch tariyat znoud»(1)

EPILOGUE

Notre pauvre Clinton est décédé, heurté violemment , par un automobiliste fou sur la route de N’Gor à Dakar. Ses jeunes maîtres Elliott et Yaneess lui organisèrent des obsèques dignes d’un marabout sénégalais avant de partir avec leur parents à Kampala en Ouganda. Que la terre te soit légère Clinton et Paix à ton âme au royaume des chats!

1 lorsqu’on a de la chance il n’est pas nécessaire de se dénuder. Ce qui veut dire si on a de la chance on a de la chance! Point barre

samedi 25 mai 2013

Bonne fete ... maman

A toutes ces mamans qui ont veille des nuits entieres quand leurs enfants avaient de la fievre. A toutes les mamans qui ont accompagne leurs enfants dans leur scolarite et qui ont pleure quand ils ont echoue ou reussi, a toutes ces mamans qui ont continue a les accompagner quand ils ont commence a voler de leurs propres ailes
A tout cet amour transmis par les mamans, a toute cette attention, a toutes ces peines et a toutes ces joies
A ces mamans qui ont donne la vie. Que pouvons nous leur dire, sinon merci, merci et encore merci
Bonnes fetes a toutes les mamans
Bonnes fetes a ma maman qui me regarde certainement de la haut avec son regard plein de tendresse et d'amour. Regard, tout dernier qu'elle avait pose sur moi avant de partir a jamais.
Bonne fete maman. Je t'aime

vendredi 24 mai 2013

ISIE vs ISIE

N'est il pas bizarre que la cabale contre Kamel Jendoubi et l'ancienne ISIE se déclenche au même moment ou le tribunal administratif bloque la mission de l'ANC relative a la nouvelle ISIE.
Mais que reproche t on a cette ISIE? A avoir fait le travail dans un temps record? D'avoir donne de l'espoir en Tunisie et d'avoir organise les premières élections libres en Tunisie?
Que reproche t on a cette ISIE? D'avoir un Président qui fait chier Ennahdha et ses complices?
On reproche quoi a Kamel Jendoubi? De ne pas avoir bénéficié d'un logement de fonction et d'un grand nombre d'avantages que s'octroient ceux qui sont aujourd’hui au pouvoir?
Kamel Jendoubi prenait une partie de son salaire pour payer son loyer et le reste il le donnait a des associations
On reproche quoi a ces gens la? Que la plus part d'entre eux étaient des bénévoles?
Ces gens la ont fait un travail pour leur pays car ils aiment leur pays car ils se sentaient missionnes d'une grande mission, première du genre dans le pays?
Un dénigrement total du travail des gens et une malhonnêteté totale
On veut appliquer les lois des marches publics a l'ISIE alors qu'elle se devait faire son travail dans un délai record? D'ailleurs, l'ISIE est exempte de l'application de cette loi
L’ISIE n’est pas responsable des résultats des élections, les élections se sont déroulées sur la base d’un code électoral préparé par la haute instance de Iyadh Ben Achour
Il y a un règlement de compte, et il est bien dommage que certains tombent dans ce jeu qui orchestré par Hamadi Jebali