Depuis près de cinq and, nos journalistes se sont relayés pour interviewer nos différents presidents et premiers responsables politiques
Un exercice auquel on n'était pas habitués mais qui petit a petit rentre dans nos meurs et ceux de nos responsables politiques
Si certaines interviews étaient réussies, j'ai trouvé "l'interview-causerie" - style Attasia - de Soufiane Ben Farhat largement au dessus du lot
Il a brossé l'ensemble des sujets, la Libye avec tous les sujets y relatifs, la politique intérieure, l'économie, le mur, la politique étrangère,la loi sur la réconciliation, la sécurité, Nidaa Tounes, les relations avec les islamistes... Sofiane ne s'est pas limité a poser les questions, il tenait absolument a avoir les réponses, connaissant bien son interlocuteur, généralement peu enclin a donner des details
Il a mis a l'aise son invite tout en l'invitant a ne pas fuir. Il 'a fait parlé de sa jebba et de la qualité de son tissu. Il est arrivé a lui faire dire ce qu'il ne veut pas dire, comme le fait que nous avons une police parallèle , que le patron c'était lui et pas Ghanouchi (allusion a la destruction du mur plus tard), que la Tunisie n'hésiterait pas a réagir si elle était menacée par la Libye...
Beji Caid Essebsi a enfin trouve un journaliste qui l'a poussé dans ses derniers retranchements pour parler de tout et ne pas nous laisser, cette fois ci sur notre faim.
Ben Farhat avec un style different, a l'aise, ne faisant pas de calculs personnels, donne une leçon de journalisme a beaucoup d'intervieweurs.
Beji a parle d'humilité, certains journalistes devraient en avoir et décortiquer la manière avec laquelle a travaille Sofiane Ben Farhat pour faire parler son interlocuteur de tout et surtout répondre a tout sans détours
Il a mis a l'aise son invite tout en l'invitant a ne pas fuir. Il 'a fait parlé de sa jebba et de la qualité de son tissu. Il est arrivé a lui faire dire ce qu'il ne veut pas dire, comme le fait que nous avons une police parallèle , que le patron c'était lui et pas Ghanouchi (allusion a la destruction du mur plus tard), que la Tunisie n'hésiterait pas a réagir si elle était menacée par la Libye...
Beji Caid Essebsi a enfin trouve un journaliste qui l'a poussé dans ses derniers retranchements pour parler de tout et ne pas nous laisser, cette fois ci sur notre faim.
Ben Farhat avec un style different, a l'aise, ne faisant pas de calculs personnels, donne une leçon de journalisme a beaucoup d'intervieweurs.
Beji a parle d'humilité, certains journalistes devraient en avoir et décortiquer la manière avec laquelle a travaille Sofiane Ben Farhat pour faire parler son interlocuteur de tout et surtout répondre a tout sans détours
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