Khelil Ezzaouia, que je considère comme le plus vil des personnages au même rang que Elyes Fakhfakh estime qu'aucune femme n'est capable de rassembler les tunisiens.
Ce moustachu qui a défendu Ennahdha plus que Ennahdha ne l'a fait pour sa propre cause, oublie que la femme est le pilier de la société tunisienne et que c'est grâce a la femme que aujourd'hui la Tunisie a pu combattre l'obscurantisme avec lequel il a choisi de s'associer.
Khelil Ezzaouia est libre de penser ce qu'il veut, mais la femme tunisienne ne peut que lui marquer son mépris et son dédain vis a vis du personnage qu'il est et qui a choisi d'oublier tous ses référentiels et toutes ses valeurs pour un malheureux et éphémère poste de ministre des affaires sociales, fonction pour laquelle il a vidé son parti de toutes ses compétences le transformant en une anti chambre d'un autre parti qui ne croit pas en la République et en les acquis du bâtisseur Bourguiba.
Je ne suis pas une femme, mais au nom de ma mère, mes soeurs et toutes les femmes que je respecte je lui dit : Au diable, pauvre imbécile!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire