Pendant la campagne électorale on s'était tirés dessus, les pro-Zbidi, les pro-Karoui, les pro-Chahed, les pro-Tarres, les pro-Abir et j'en passe.
Aujourd'hui que reste-t-il de cette bataille? il y en a qui ont disparu et d'autres qui se maintiennent grâce à des groupes parlementaires à tailles modestes
En face, un parti islamiste certes affaibli mais toujours aux commandes, soutenu par un groupe parlementaire des plus extrémistes qui lui permet de demeurer incontournable au sein du parlement. Un parti islamiste qui se permet même le luxe d'avoir à sa disposition un groupe parlementaire dit progressiste qu'il malmène, tantôt le traitant de corrompu, tantôt faisant de lui un allié de la premiere heure
En arbitre, un parti qui hier était traité de populiste, qui devient le plus sexy de tous les partis de la place sans qu'il n'ait changé ni de direction, ni de méthodes, mais qui a su garder un discours cohérent même s'il ne propose rien pour sortir le pays du marasme à part des clichés.
Aujourd'hui, aucun discours de construction n'est possible, seul les invectives sont légion.
Pour saupoudrer tout cela, des plateaux télé, qu'ils soient politiques ou de variétés qui font du copier coller de médiocrité et d'analyses "boudourou" tous imbus de leurs personnes pensant seuls détenir les vérités.
Ajoutons a ce paysage, une série de mauvaises nouvelles et ainsi toute initiative de construction possible est anéantie et étouffée dans l'oeuf.
Cerise sur le gâteau, Ennahdha choisi, par calcul ou par inadvertance, ce qui semble être le pire des profils pour gouverner le pays.
Ennahdha, ce cancer qui ronge le pays, l'appauvri et installe la sinistrose dans la nation.
On disait que les résultats des élections de 2011 étaient un cauchemar. Ceux de 2019 sont une hécatombe
Aujourd'hui que reste-t-il de cette bataille? il y en a qui ont disparu et d'autres qui se maintiennent grâce à des groupes parlementaires à tailles modestes
En face, un parti islamiste certes affaibli mais toujours aux commandes, soutenu par un groupe parlementaire des plus extrémistes qui lui permet de demeurer incontournable au sein du parlement. Un parti islamiste qui se permet même le luxe d'avoir à sa disposition un groupe parlementaire dit progressiste qu'il malmène, tantôt le traitant de corrompu, tantôt faisant de lui un allié de la premiere heure
En arbitre, un parti qui hier était traité de populiste, qui devient le plus sexy de tous les partis de la place sans qu'il n'ait changé ni de direction, ni de méthodes, mais qui a su garder un discours cohérent même s'il ne propose rien pour sortir le pays du marasme à part des clichés.
Aujourd'hui, aucun discours de construction n'est possible, seul les invectives sont légion.
Pour saupoudrer tout cela, des plateaux télé, qu'ils soient politiques ou de variétés qui font du copier coller de médiocrité et d'analyses "boudourou" tous imbus de leurs personnes pensant seuls détenir les vérités.
Ajoutons a ce paysage, une série de mauvaises nouvelles et ainsi toute initiative de construction possible est anéantie et étouffée dans l'oeuf.
Cerise sur le gâteau, Ennahdha choisi, par calcul ou par inadvertance, ce qui semble être le pire des profils pour gouverner le pays.
Ennahdha, ce cancer qui ronge le pays, l'appauvri et installe la sinistrose dans la nation.
On disait que les résultats des élections de 2011 étaient un cauchemar. Ceux de 2019 sont une hécatombe